Depuis plusieurs siècles maintenant, l'existence des surnaturels a été révélée au grand public. Aujourd'hui, en Grande-Bretagne, ils cohabitent avec les humains dans la vie de tous les jours. Des lois et des organismes, ont été créés pour préserver cette paix parfois bousculée par quelques agitateurs. Les Loups-garous et les Vampires, vivant chacun dans leur communauté respective, s'avèrent moins effrayants que ce que l'on peut lire dans les légendes. Mais quelque chose se trame... Un secret tombé dans l'oubli est sur le point d'être découvert.
En savoir +
Aurore Tamisée
Top Partenaires
forum
Le Deal du moment : -55%
Coffret d’outils – STANLEY – ...
Voir le deal
21.99 €

L'authenticité d'un café ◈ Alaric Spencer
Répondre
Nouveau sujet
Profession : Bénévole
Taille : 1m75
Age : 27 ans
Prestiges : 395
Rôle Sous-groupe : Drone
Sous-groupe : Ruche de Lexington
Jason Hawke
Les Diurnes
Jason Hawke
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Ven 19 Jan 2024 - 14:19
L'authenticité d'un café
ft. Alaric Spencer
Hiver 2023
Dehors, le soleil déclinait doucement sans que Leslie n’y prête attention. Son téléphone sonnerait d’ici quelques heures pour lui rappeler de décrocher de ses révisions pour rejoindre le fast-food où il travaillait, comme presque tous les soirs. En attendant, il restait le nez plongé entre ses livres ouverts sur la table, étalés entre des fiches de révision et du brouillon sur lequel il griffonnait par moments. Quand il n’écrivait pas, il tapotait son stylo contre la table, attentif à sa lecture ou alors songeur. Puis il reprenait quelques notes, surlignait parfois des lignes sur son livre pour les retrouver facilement, annotait aussi les marges pour se créer des renvois avec d’autres éléments de son cours - voire d’autres cours. Les enseignants ne cessaient de leur rabâcher la transversalité de leur cursus, comme quoi ce qu’ils apprenaient dans un cours pouvait aussi servir dans d’autres matières.

Leslie posa toutefois son stylo pour s’accorder une pause. Son professeur avait beau être captivant en cours - chose rare pour le souligner, en particulier avec une matière pareille -, étudier le droit fiscal européen demeurait malgré tout une sacrée prise de tête. La veille, il avait encore passé la soirée à écumer les traités européens à la recherche de la petite bête qui l’empêchait de cerner la subtilité du point évoqué - une lecture que Leslie déconseillait à deux heures du matin passées, après une journée intense de cours et une soirée de travail. La fatigue se lisait d’ailleurs sur son visage, entre ses petits yeux et ses cernes marqués. Emalyn lui avait fait la réflexion à plusieurs reprises dans la journée, en particulier quand il avait piqué du nez lors du cours magistral sur la théorie de l’impôt. Il n’avait rien rétorqué alors, ne souhaitant pas être materné une fois de plus sur le sujet, mais il devait bien avouer que se concentrer plus longuement sur ses livres de droit s’avérait compliqué. Il avait choisi de s’installer dans un Starkbucks pour gagner du temps sur les trajets, mais le brouhaha ambiant le distrayait plus qu’autre chose. Il aurait bien pu écouter de la musique pour tenter de se concentrer, mais il se connaissait aussi - il risquait fort de passer plus de temps à l’écouter et à rêver. 

Le soupir au bord des lèvres, Leslie remarqua alors le gobelet à son nom posé sur un coin de la table. Il papillonna un instant, incertain - depuis quand y avait-il un gobelet là ? Ou plutôt, depuis quand avait-il oublié ce maudit gobelet ? Il l’attrapa, but une gorgée, et grimaça aussitôt. Froid. Et un chocolat viennois froid n’était jamais bien fameux.

Passant ses mains sur son visage, il se résigna à faire une pause dans ses révisions. Il glissa un marque-page dans son livre, récupéra ses affaires importantes, puis abandonna sa table pour rejoindre le comptoir et commander un nouveau chocolat viennois - en espérant cette fois-ci ne pas l’oublier. Après une attente qui lui parut interminable, la faute au début de soirée qui attiraient les étudiants du campus à la sortie des cours, Leslie regagna sa table. Avec un tel afflux, il n’était pas certain de pouvoir réussir à se concentrer à nouveau ; alors son regard se promena entre les clients, tandis que ses mains se réchauffaient autour du gobelet fumant.

Et dans toute cette flopée de visages, Leslie reconnut un autre étudiant qu’il avait déjà croisé auparavant - peut-être à la bibliothèque, ou ailleurs sur le campus - sans pour autant se rappeler son prénom. Il se creusa les méninges un instant.

— Alaric ?

Le prénom lui était finalement apparu, mais il l’avait prononcé à voix haute plus par réflexe qu’autre chose. Leurs regards se croisèrent, et Leslie avisa soudain l’état bondé du Starbucks. Il ramassa dans la hâte ses livres comme ses feuilles pour faire de la place.

— Tu peux t’installer à ma table, si tu veux. Pas sûr qu’il reste beaucoup d’autres tables de toute façon.
(c) chandelles
Profession : Interne en médecine
Taille : 188 cm
Age : 23 ans
Prestiges : 110
Rôle Sous-groupe : Porte-Clé
Sous-groupe : Meute de Stoney
Alaric Spencer
Les Diurnes
Alaric Spencer
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Mer 24 Jan 2024 - 9:28
La nuit commençait à pointer le bout de son nez alors qu’Alaric n’avait pas fini sa journée. Ses yeux d’ambre pur se perdait alors que l’horizon se parait de couleurs ocres, violacées et pourpre offrant un un spectre hypnotisant pour n’importe qui qui y prête attention. Si d’accoutumée, le futur médecin était quelqu’un de concentré et sérieux en cours, il fallait avouer que le spectacle de Londres sous le soleil couchant était déconcertant. Une fois le cours terminé, il n’était pas question de retourner directement chez Nanny pour flemmarder et ne rien faire, de toute manière elle veillait au grain sur ses études, et elle restait attentive à son évolution. Emmitouflé dans une veste chaude et une écharpe en laine bordeaux, il se dirigeait, frileux, vers le café du coin où il avait ses habitudes pour déguster une boisson chaude et parfaire ses devoirs du soir.

Une brise fraîche venait frapper son visage fin qui ne laissait apercevoir qu’une paire d’yeux et un nez, ses mains gantées s’étant cachées dans ses poches pour ne pas avoir à subir ce froid de canard, hâtant le pas vers son lieu de prédilection. Un gling, une porte qui s’ouvrit et voilà notre protagoniste qui entre sans plus attendre dans ce lieu qu’il aimait particulièrement alors qu’une voit qu’il reconnut entre tous le happa, ce qui le fit lever légèrement la tête, esquisser un sourire rapide, alors qu’il se posa comme une loque, sacoche à ordinateur portable sur la table, ses fesses atterrissant mollement sur le bois grinçant de la chaise pas très solide en face de l’étudiant en droit. Heureusement qu’il n’était pas un loup ou qu’il n’était pas trop lourd, il ne paierait pas cher de son état s’il venait à s'asseoir aussi brusquement comme il le faisait là. S’il avait déjà vu ce visage, il mit un léger temps de réflexion pour se souvenir du prénom de son interlocuteur. On pouvait imaginer l’ampoule dans son cerveau s’allumer lorsque les deux neurones qui officiaient dans le cortex de la mémoire venaient de se connecter, lui révélant alors l’identité du personnage.

- Salut, Leslie !

Oui c’était ça, enfin, je crois. Il n’était pas le plus doué pour se remémorer tous les visages qu’il croisait au quotidien. Entre les étudiants, les médecins et les patients, il ne savait plus où donner de la tête. Heureusement, le physique de Leslie était suffisamment unique pour qu’il se souvienne de lui sans aucun problème.

- Purée, j’oublie toujours qu’à cette heure-ci c’est l’enfer pour trouver une place; Merci !

Son regard curieux et légèrement brillant à la lumière se perdit dans les documents que devait étudier le jeune homme, et pris d’une légère envie de connaissance, il tourna légèrement le bouquin vers lui pour y décrypter les quelques lignes. N’y comprenant de toutes façons rien aux droits, il remit l’objet à sa place pour souffler un rire.

- Tu étudies quoi ? Ça m'a l’air pas simple ton truc.

Dixit celui qui venait de brandir fièrement un dossier aussi long que son bras (enfin j’exagère presque…) avec des schémas, formules scientifiques et autres écritures inconnues du commun des mortels travaillant visiblement sur la composition des médicaments et les différentes molécules de ces derniers. Après quelques minutes d’attentes, un café latté au caramel venait de faire son apparition sur la table après que le jeune adulte soit allé le chercher au comptoir, avec bien sûr une faute à son nom : voilà qu’il s’appelait Derick, et plus Alaric…Les serveurs de Starbucks étaient vraiment clichés quand même, se dit-il.

- Tu comptes rester longtemps? On peut étudier en même temps si tu veux…
Profession : Bénévole
Taille : 1m75
Age : 27 ans
Prestiges : 395
Rôle Sous-groupe : Drone
Sous-groupe : Ruche de Lexington
Jason Hawke
Les Diurnes
Jason Hawke
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Mer 31 Jan 2024 - 12:25
L'authenticité d'un café
ft. Alaric Spencer
Hiver 2023
Tandis qu’il faisait une place à l’autre étudiant à sa table, histoire de ne pas le noyer sous les documents juridiques en tout genre, Alaric s’installait sur la chaise en face de lui. A cette heure, l’interne en médecine avait de la chance d’être tombé sur Leslie ; autrement, il aurait dû se résoudre à prendre une boisson à emporter et à retourner à la fac dans l’espoir de trouver un endroit où s’asseoir. Avec la fin des cours comme du travail pour beaucoup, les gens se pressaient et s’entassaient dans le café, et à dire vrai, c’était généralement le moment où Leslie rassemblait ses affaires pour partir en quête d’un endroit plus calme. Seule son envie d’un chocolat viennois bien chaud avait compromis son habitude.

Il but d’ailleurs une gorgée de son chocolat viennois, pesta en son for intérieur contre le manque de cannelle, puis avisa Alaric qui jetait un œil à son livre de droit encore ouvert. Leslie esquissa un sourire face à l’abandon rapide - en même temps, ce n’était pas le sujet le plus simple, encore moins le livre en question. La page ouverte traitait de la fiscalité du commerce, comme les droits de douane ou encore les autres restrictions éventuelles appliquées sur les marchandises - de quoi entraver la libre concurrence prônée par l’Union Européenne. Plusieurs de ses camarades ne comprenaient pas un traître mot de ce que racontait leur professeur, peut-être parce que ce thème du droit nécessitait aussitôt des connaissances en économie pour bien cerner le fonctionnement de la concurrence économique.

— Droit fiscal européen. Et non, ce n’est pas aussi barbare qu’il n’y paraît.

Le sourire aux lèvres, le rire dans la voix, Leslie se pencha à son tour sur le dossier épais sorti par Alaric, qui avait l’air de comprendre des tas de schémas aussi bizarres que compliqués. Même l’écriture illisible de son médecin qui griffonnait des ordonnances en pattes de mouche lui paraissait bien lui compréhensible en comparaison.

— Je te demanderai bien ce que tu étudies aussi, mais je crois que je ne comprendrai même pas l’intitulé.

Il but une autre gorgée de son chocolat viennois - cette fois, il ne comptait pas l’oublier -, puis hocha la tête après avoir jeté un regard à l’heure. Il avait encore du temps devant lui avant d’embaucher au fast-food où il travaillait presque tous les soirs, et plusieurs pages de cours à étudier pour ne pas prendre trop de retard dans ses études. Autrement, il lui faudrait raccourcir davantage ses nuits dans les prochaines semaines, et il entendait déjà Emalyn lui faire la leçon parce qu’il dormait en cours.

— Oui, pourquoi pas ? On s’encouragera mutuellement dans nos sujets complexes comme ça. Tu dois avoir les partiels qui approchent aussi, non ?
(c) chandelles
Profession : Interne en médecine
Taille : 188 cm
Age : 23 ans
Prestiges : 110
Rôle Sous-groupe : Porte-Clé
Sous-groupe : Meute de Stoney
Alaric Spencer
Les Diurnes
Alaric Spencer
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Ven 16 Fév 2024 - 19:17
L’étudiant en médecine était ravi d’enfin trouver une place sur une table après avoir passé une journée de merde dans cet amphithéâtre dépacé par les années et ces profs qui passaient leur temps à baragouiner plutôt qu’expliquer les choses. A croire que les médecins écrivent aussi mal qu’ils ne parlent… Avec son gobelet de cappuccino au portrait de sirène verte et dont l’odeur venait flirter avec ses narines, il s’était donc posé près de son camarade de droit qu’il appréciait beaucoup.

“Du droit fiscal européen? C’est pour les entreprises qui font de l’argent ou les gens qui ouvrent des comptes en Suisse, non?” dit-il en soufflant un rire avant de regarder son propre cours.

Bien qu’il soit à l’aise en médecine, cela restait un domaine très difficile et peu d’élèves parviennent à obtenir leur diplôme. Heureusement, après l’équivalent d’une prépa britannique, il avait obtenu les passe-droit pour intégrer la faculté et travaillait comme interne dans un hôpital public. Amusé de voir la tête de son homologue sur l’intitulé de son cours, il ne peut s’empêcher d’afficher un rictus narquois avant de répondre :

“Ouais c’est un cours d’introduction sur les médicaments, leur composition et comment ça fonctionne. C’est intéressant. En vrai tous les cours sont sympa, mais le pire c’est les cours de biomathématiques et de probabilités. Je n’ai jamais vu des notes aussi basses de toute ma scolarité !  Y a des profs ce sont vraiment des sadiques !”

En gros, il aime pas les maths, mais de toute façon il n’a pas trop le choix de s’adapter et s’il ne s’y met pas, ses grands-parents seraient les premiers à lui remonter les bretelles. La fac n’est pas gratuite et ils seraient déçus s’ils voyaient leur argent partir dans des études qui ne servaient à rien.

Après avoir allumé son ordinateur, il but une gorgée de son cappuccino, avant de commencer à pianoter sur internet et sur ses notes de cours, plutôt détendus.

“Ouais les partiels c’est dans quelques semaines. Et puis je dois préparer un mémoire pour la fin de l’année. Entre ça, l’internat à l’hosto je suis pris de partout, j’ai même pas le temps pour moi. En plus si je rate, mes vieux vont me faire la fête, je n’ose pas y penser” il grimace un peu à ça.

Il adorait Tamara et Wally, mais c’était des vieux loups de la vieille, un peu conservateurs qui étaient déjà déçus de ne pas voir de poils chez leur petit-fils, alors s’il ratait ses études ce serait la honte;

“Et toi tu révises aussi? Tu as trouvé des stages? Tu veux faire quoi déjà? Avocat ? Juge?” dit-il avec curiosité. “Et ça se passe comment dans ton travail, tu arrives à conjuguer les deux ça doit être chiant, non ?” demanda-t-il, faisant la conversation avec son ami. Il observa entre temps les personnes présentes, reconnaissant peut être quelques loups de la meute ou des porte-clés qu'il connaissait plus ou moins, avant de reprendre une gorgée de sa boisson et un bout de gâteau.
Profession : Bénévole
Taille : 1m75
Age : 27 ans
Prestiges : 395
Rôle Sous-groupe : Drone
Sous-groupe : Ruche de Lexington
Jason Hawke
Les Diurnes
Jason Hawke
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Lun 19 Fév 2024 - 10:12
L'authenticité d'un café
ft. Alaric Spencer
Hiver 2023
Autour d’eux, le brouhaha ne cessait pas, et Leslie peinait à se concentrer sur les dires de son ami. Il avait toujours du mal à bien entendre les mots distincts qui se perdaient dans le vacarme ambiant. Un coup d’œil vers le comptoir lui confirma que la foule ne disparaîtrait pas de sitôt ; du monde arrivait toujours dans le café, et les étudiants se pressaient devant la caisse pour passer leur commande. Il s’était relevé pour récupérer un chocolat viennois au bon moment ; autrement il y serait encore. Il but d’ailleurs une autre gorgée.

— Le commerce extérieur, surtout. Tu sais, les droits de douane, la fiscalité sur les importations, toutes ces taxes que tu dois payer en plus quand tu achètes quelque chose d’un pays étranger.

Leslie esquissa un bref sourire derrière son gobelet. Donner des exemples concrets aidaient souvent les néophytes à comprendre les grandes lignes de ce qu’il étudiait - tant qu’il ne se lançait pas de grandes explications compliquées. Il ne comptait pas détailler toutes les taxations qui existaient et qu’il devait connaître, ou encore les restrictions sur les quantités - ou toutes les techniques un peu retorses pour entraver la concurrence qui n’en portaient pas le nom de prime abord. Les dernières années recelaient d’exemples de ce genre, et son professeur passait souvent un long moment à leur raconter pour qu’ils cernent bien tout l’enjeu du sujet. Beaucoup en profitaient pour dormir, cela dit.

Les précisions apportées par Alaric le poussèrent à hocher la tête. S’il ne comprenait toujours rien aux livres étendus devant l’autre étudiant, il entrevoyait davantage l’intérêt de ce qu’il étudiait. Les cours de médecine étaient véritablement vastes et denses, et longs avant qu’ils ne puissent se spécialiser pour de bon. A l’inverse, Leslie s’était spécialisé dès sa troisième année de licence.

— Je suis sûr que les profs organisent un concours entre eux pour savoir qui est le plus sadique, toute filière confondue.

Leslie se rappelait de son professeur de droit administratif, en deuxième année de licence - pas méchant sur le papier, plutôt abordable en cours, mais un véritable spécialiste des sujets foireux lors des partiels, sans parler de sa notation atroce. Il s’estimait chanceux de ne plus l’avoir jamais croisé au cours de ses études.

Il récupéra son livre de droit afin d’essayer de se replonger dans ses révisions ; il n’oubliait pas que l’heure tournait.

— Ça a l’air intense, avec cette histoire d’internat. Tu tiens le coup ?

Cela dit, l’internat offrait une expérience non négligeable pour les étudiants de médecine, et qui n’était en rien comparable avec les stages des autres filières. Même si Leslie avait déjà fait un stage dans un cabinet d’avocat l’an passé, il ne se considérait pas encore apte à prendre la relève - même s’il envisageait de travailler à plein temps dès la fin de ses études.

— Mes partiels ne sont qu’à la rentrée, j’ai encore un peu de temps. Leslie détestait ces partiels juste après les fêtes de fin d’année, à croire que la fac n’avait pas de cœur. Et pour le stage j’ai plusieurs pistes solides, je dois me décider sur ce que je préfère.

Le cabinet où il avait fait son stage l’an passé lui avait proposé de le reprendre cette année, auprès d’un autre responsable pour qu’il puisse varier, mais Leslie hésitait aussi avec un autre cabinet, davantage spécialisé dans l’accompagnement des entreprises, plutôt que les particuliers.

— Avocat. Ou jurisconsulte.

Leslie aimait ce côté technique du droit, qu’il fallait décortiquer pour ensuite apporter les meilleurs conseils.

— C’est un peu fatiguant, mais je m’en sors. Ça demande surtout de l’organisation.
(c) chandelles
Contenu sponsorisé
Fermer
Fermer
Infos
Capacités
Répondre
privacy_tip Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum